📌 Dans la continuité de la motion proposée en juin 2019 par Lise Goetghebuer, une nouvelle voirie, au droit du numéro 261 de la chaussée de Saint-Job (là où se trouvait l’ancien champ), prendra le nom de « Clos Monique Rifflet ».  Monique Rifflet (1933-2013) a été conseillère communale, parlementaire et sénatrice socialiste. Elle s’est notamment battue pour la dépénalisation de l’avortement et on lui doit le premier planning familial francophone de Belgique.
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📌 Une convention sera signée prochainement avec la Région afin de financer une étude (à hauteur de 240.000 euros) concernant la place Saint-Job. Le périmètre d’étude n’est pas limité à la place mais concerne aussi les départs de  voiries telles que la chaussée saint job, l’avenue Carsoel et la dernière portion de la chaussée de St Job menant au parking communal de l’arrière de la place. L’objectif de cette étude vise à redéfinir les fonctions de la place, mais aussi à la rendre plus conviviale, à la verduriser et à apaiser le quartier. Deux autres objectifs s’inscrivent dans ce projet : pour la STIB, améliorer la vitesse du tram 92 et pour l’ensemble du quartier, offrir une meilleure accessibilité aux personnes à mobilité réduite. Globalement, le projet prend en charge une vision globale de la place Saint-Job, ce qui pourra répondre à une demande forte des habitants du quartier. Les réflexions se feront bien évidemment en partenariat avec les associations de quartier et des commerçants.
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📌 Diverses dépenses relatives à des aménagements pour cyclistes ont été approuvées. Le service de la Voirie propose de les réaliser rue de Verrewinkel, rue Robert Jones (ligne confort), et avenue Houzeau (marquage). C’est une liste à titre indicatif qui est susceptible d’évoluer. Ces dépenses s’inscrivent dans la volonté de développer massivement les les mobilités douces et font suite aux nouvelles pistes cyclables av. Churchill et Prince d’Orange.  

📌 Dans le cadre de l’appel à projet au sein de la politique de solidarité internationale, 9 projets d’associations ont pu être retenus sur les 11 demandes qui avaient été reçues. Le budget de 14.000€ sera partagé entre ces associations, avec un montant accordé de maximum 2000€ par projet.  

📌 Le conseil a approuvé la prolongation de la convention d’occupation de la salle de sport de l’Athénée Royal Uccle II pour 2019-2020, à destination des jeunes du quartier du Homborch. 

📌 La Croix-Rouge de Belgique, section Jeunesse, et la Commune poursuivent leur collaboration, via le service de Promotion de la Santé à l’Ecole, dans le cadre du projet pilote « Mission Zéro Bobo » dans une école communale. La Croix Rouge s’engage à former les membres du personnel du service de Promotion de la Santé communal d’Uccle au module Mission Zéro Bobo, afin qu’ils deviennent des acteurs relais et qu’ils dispensent de façon autonome cette matière à des enfants de 6 à 10 ans, dans le cadre de leurs animations.

📌 La motion « Urgence climatique et environnementale » votée à l’unanimité fait écho à l’interpellation citoyenne de Rise for Climate présentée le mois passé. Tous les partis s’étaient engagés à produire un texte, fruit d’une synthèse des différentes opinions des personnes qui y ont participé. Le groupe Défi a donné son approbation à la motion seulement pendant la séance, mais n’a pas participé au travail effectué pendant les semaines précédentes pour élaborer le texte de la motion ce que notre échevine Maëlle De Brouwer n’a pas manqué de regretter. Cette unanimité de tous les partis face à cette question cruciale constitue néanmoins un signal fort et positif envoyé à la population. Nous nous en réjouissons. Cette motion montre que la Commune veut être volontariste en la matière. Elle atteste aussi du fait que citoyens et citoyennes sont impliqué.e.s et moteurs de ce changement. Le collectif Rise for the Climate a ainsi participé à la relecture du texte de la motion. Celle-ci insiste notamment sur la nécessité de ne pas aggraver les inégalités sociales, car ce sont les groupes les plus précarisés qui sont les premiers touchés par les effets du dérèglement climatique.
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📌 Dès le mois de juin, Uccle a réagi face aux problèmes posés par les nouveaux modes de déplacement. Le bourgmestre a demandé aux policiers et agents constatateurs de verbaliser les trottinettes qui entravent le cheminement des piétons. Concrètement, un nombre important de pv a déjà été dressé (52). Ils ont été adressés aux opérateurs concernés. La situation s’est améliorée mais encore loin d’être parfaite. Ce problème est évidemment régional, pas spécifique à Uccle. La Commune travaille sur un projet d’ordonnance de police, tout en essayant d’être cohérente avec ce qui peut être fait partout à Bruxelles. La Commune souhaite encadrer le système et mettre en place une communication préventive pour les usagers, tout en collaborant avec les opérateurs pour qu’ils sensibilisent leurs utilisateurs. Il existe déjà des zones où il est totalement  interdit de garer des trottinettes/vélos/scooters en libre service. Actuellement seul un tronçon de la rue Xavier de Bue faite partie de ces zones d’interdiction. On réfléchit au développement de zones dédiées au placement de trottinettes, mais les opérateurs n’y sont pas favorables puisque l’intérêt est justement de pouvoir laisser la trottinette où l’on veut.

📌 Suite à la construction du bassin d’orage au niveau de la rue de Stalle, plus précisément au carrefour Stalle/Gambier, un projet communal de réaménagement de cet espace est en cours de réalisation. Il est piloté par le service Environnement et vise à verduriser cet espace, à créer une connexion avec le parc Raspail, à établir un espace de jeux et faire une connexion piétonne et cyclable. Les habitants seront consultés et il y aura une enquête publique.

📌 Notre conseiller Ecolo Serge Minet nous a partagé sa joie quand il a vu, à même les grilles historiques du Parc de Wolvendael, les tableaux de l’exposition de CHOUNA LOMPONDA qui nous invitent à découvrir des photos capturées par Vaya Sigmas montrant des visages d’hommes et de femmes, leur regard, leur parcours et leur environnement. L’exposition a été initiée par l’échevine Maëlle De Brouwer et présente dans notre commune 18 portraits constituant autant de pistes de  lutte contre la discrimination et les stéréotypes raciaux et d’occasions de questionner nos perceptions pour nous montrer que la diversité, c’est juste normal. L’objectif est de lutter contre le racisme en montrant d’autres visages que ceux qu’on a l’habitude de croiser. Les axes du programme communal en la matière porte sur la lutte contre les stéréotypes et la conscientisation des inégalités avec, entre autre, la projection de films. Un travail avec la police sera aussi envisagé sur le long terme.

📌 Le sexisme, le harcèlement, les violences faites aux femmes restent une terrible réalité. Notre commune n’est pas épargnée. Il y a plus de morts liés aux féminicides qu’au terrorisme, alors qu’un budget plus important est dédié à ce dernier. Lors du prochain Conseil, une motion élaborée par l’ensemble des partis politiques, visant à lutter contre ces violences sera donc discutée.  En attendant, à l’occasion de la journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes, des événements sont prévus sur notre commune :

  • Du 24 au 28 novembre, nous accueillons à la Maison des Arts l’exposition américaine « Que portais-tu ce jour-là » qui déconstruit le mythe du viol. Des tenues et témoignages seront présentés dans le but de montrer qu’aucun vêtement ne justifie ni n’invite au viol.  L’exposition a démarré à l’Université de L’Arkansas en 2013. Des étudiantes ont partagé leurs témoignages – de brèves descriptions des tenues portées lors de l’agression. Ces descriptions ont été utilisées pour recréer les tenues portées lors des agressions. Les vêtements avaient été donnés par un magasin de vêtements de seconde main de l’Arkansas. Le matériel d’exposition nous est prêté par la Ville de Bruxelles. Les écoles secondaires et supérieures sont invitées à participer dès le lundi matin. Son vernissage est prévu en collaboration avec les associations « SOS Viol » et « 320, rue Haute » qui sont deux structures qui viennent en aide aux victimes d’agressions sexuelles. l’ASBL Soroptimist sera également présente.
  • Parallèlement, la Maison des Arts sera éclairée en orange, dans le cadre de la campagne du Secrétaire Général des Nations Unies, « Tous unis pour mettre fin à la violence à l’égard des femmes » et à la demande des Clubs Bruxellois du Soroptimist International de Belgique. Le service du personnel a également commandé 100 rubans blancs auprès d’Equal Brussels pour montrer notre engagement collectif en portant le symbole universel contre la violence. 

📌 Pour information, pour la première fois, un directeur de la programmation a été engagé au Centre Culturel. Il s’agit de Tristan Bourbouze. Pour rappel, cet engagement a été rendu financièrement possible via la suppression des jetons de présence des administrateurs.
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L’ensemble des points discutés est disponible sur http://www.uccle.be/les-elus/conseil